Internet foisonne de définitions, parfois incompréhensibles pour le commun des mortels s’il n’a pas de bagage technique. Celle-ci par exemple veut au contraire ôter toute référence à la technicité du concept… belle intention mais… loupé (nous tairons d’ailleurs la source, car l’objet de ce post n’est pas de se moquer, et il faut bien admettre que l’exercice est difficile) : « Une forme d’informatique au sein de laquelle des capacités massivement évolutives liées aux technologies de l’information sont fournies en tant que service, à l’aide des technologies Internet, à de multiples clients externes. »
Nos amis américains semblent définitivement plus « doués » que nous pour ce qui est de la simplification, de la démystification. Gageons que la langue de Shakespeare est d’un grand secours, mais tout de même. Dans un article du mois de juin, Jeff Kaplan – qu’on ne présente plus – écrit ceci : « nous définissons le cloud computing comme : un ensemble d’outils et de services accessibles par le web, proposant aux utilisateurs les ressources nécessaires à la création ou à la maintenance d’applications, et facilitant l’accès à des fonctionnalités spécifiques, le tout facturé uniquement à l’usage. »
Définition complète, claire et précise, qui comprend trois éléments clés : à la carte, accès web et pay-per-use.
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Cyril s’intéresse aux thématiques du SaaS et du Cloud Computing pour les entreprises.
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